Discours d'ouverture par Léon Bonnat

Discours de Franz Cumont : "La romanisation de la Belgique dans l'Antiquité"

Discours de Albert Dastre : "Les Plaies de Guerre et la Nature médicatrice"

Discours de Charles Benoist : "Les Allemands peints par les Maîtres de l'esprit français"

Discours de Pierre Loti : "À Soissons"

Séance publique annuelle des cinq Académies du lundi 25 octobre 1915

La séance publique du 25 octobre 1915 fut davantage inscrite dans la guerre que celle de l’année précédente. Le président de l’Institut, Léon Bonnat, marqua en effet dans son discours sa douloureuse surprise de voir se prolonger un conflit que l’on voyait encore, l’année précédente, se terminer avant Noël. Le discours du délégué des inscriptions et belles-lettres, Franz Cumont, consacré à « La romanisation de la Belgique dans l’Antiquité », ne manqua pas de développer le thème de l’opposition à la Germanie auquel on pouvait s’attendre, mais sans cela son exposé était de facture tout à fait classique et éloigné de l’actualité. Cependant par le choix de l’orateur, associé étranger et citoyen belge, l’Académie des Inscriptions avait voulu, Franz Cumont l’indique lui-même, rendre spécialement hommage à la Belgique. (Il est rarissime qu’un associé étranger prenne la parole ainsi lors d’une rentrée solennelle).

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Ordre des lectures

  1. Discours du président de l'Institut de France, Léon Bonnat
  2. "La romanisation de la Belgique dans l'Antiquité" par Franz Cumont, délégué de l'Académie des inscriptions et belles-lettres
  3. "Les Plaies de Guerre et la Nature médicatrice" par Albert Dastre, délégué de l'Académie des sciences
  4. "Les Allemands peints par les Maîtres de l'esprit français" par Charles Benoist, délégué de l'Académie des sciences morales et politiques
  5. "À Soissons" par Pierre Loti, délégué de l'Académie française