Discours d'ouverture par Paul Girard

Discours de Charles Richet : "L'Anesthésie dans les blessures de guerre"

Discours de André Michel : "La Statue de Washington par Houdon"

Discours de Henri Welschinger : "Un Académicien alsacien, Jean-Stanislas Andrieux (1759-1833)"

Discours de Jean Richepin : "Ode au vent d'Ouest"

Séance publique annuelle des cinq Académies du vendredi 25 octobre 1918

Le 4 octobre, le Reich avait demandé au président Wilson d’ouvrir des négociations en vue d’un armistice. Celui-ci ne fut signé que le 11 novembre, mais la victoire était acquise pour les armées alliées, en pleine offensive et qui avaient déjà largement libéré les régions envahies. Le discours triomphant du président de l’Institut, Paul Girard, le 25 octobre, témoigne du soulagement éprouvé par les contemporains. Henri Welschinger, délégué de l’Académie des Sciences morales et politiques, consacra son discours, évidemment tout à fait de circonstance, à « Un académicien alsacien : Jean-Stanislas Andrieux (1759-1833) », dont il soulignait qu’il était le seul Alsacien que l’Académie française ait compté jusque-là dans ses rangs. Le représentant de l’Académie des Sciences, Charles Richet, exposa ce qui avait suscité de grands progrès de la médecine et de la chirurgie pendant le conflit : « L’anesthésie dans les blessures de guerre ».

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Ordre des lectures

  1. Discours du président de l'Institut de France, Paul Girard
  2. "L'Anesthésie dans les blessures de guerre" par Charles Richet, délégué de l'Académie des sciences
  3. "La statue de Washington par Houdon" par André Michel, délégué de l'Académie des beaux-arts
  4. "Un Académicien alsacien, Jean-Stanislas Andrieux (1759-1833)" par Henri Welschinger, délégué de l'Académie des sciences morales et politiques
  5. "Ode au vent d'Ouest" par Jean Richepin, délégué de l'Académie française