La recherche des familles et les visites

Après l'arrivée des blessés, vient le moment de rechercher et d’avertir les familles. Celles-ci sont informées par télégramme ou téléphone et rejoignent Paris, une photographie du blessé leur est envoyée. Leur billet de train est payé pour moitié et une liste spécifique d’hôtels leur est remise. Dans les cas plus complexes, l’administration fait passer une annonce dans le journal et se livre à un travail d’enquête.

L’hôpital montre un empressement particulier à entourer le blessé et le maintenir éloigné de débordements néfastes pour sa santé. Les visites sont limitées.
Frédéric Masson écrit :

« Les blessés n’entrent point à l’hôpital pour s’amuser, mais pour guérir, le mieux et le plus promptement possible ».